Le judaïsme reconnait l'avortement dans une mesure "serrée" pourtant la plupart des lois IVG en France on été proposé par des personnes de confession judaïque.
L'avortement, en Israël, n'est autorisé qu'à certaines conditions. (Les problèmes de sources financières n'entre pas en ligne de compte depuis 1980). Seul le comité d'éthique médical peut juger chaque cas. 96% des demandes sont acceptées par ce comité. Une femme peut demander l'avortement si elle parvient à prouver que son état mental peut nuire à sa grossesse, si elle prouve que son enfant est le résultat de relations incestueuses ou encore si elle a moins de 18 ans et plus de 40 ans.
Le Talmud (lois rabbiniques) considère l'embryon comme vivant depuis la conception mais il ne prend le statut d'être humain, 40 jours après la fécondation. Avant ce délai, l' avortement est considéré comme "moins grave". L'enfant fait partie du corps de sa mère jusqu'à la naissance. Si l'enfant menace la vie de sa mère, les lois rabbiniques disent explicitement que l'on doit sauver la mère et procéder à l'avortement de l'enfant. Certaines autorités rabbiniques étendent la pratique de l'avortement au risque d'aggravation d'une maladie psychique ou physique de la mère, aux cas d'adultères, de grossesses extra conjugales et de viols.
Source: blogdei
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