lundi 8 décembre 2008

Il était une fois la vie .....


HISTOIRE DU PETIT ÊTRE HUMAIN

(d'après le manuel de bioéthique pour les jeunes de la fondation Jérôme Lejeune)


  • Le terme d'une grossesse se compte de deux manières :
    en semaines d'aménorrhée (SA) c'est à dire le nombre de semaines sans règles, calculé a partir du 1er jour des dernières règles, 14 jours avant la fécondation ;
    En semaines et en mois de développement de l'embryon à partir du jour de la fécondation.
    Ex : 3 mois de développement (12 semaines) correspondent à 14 semaines d'aménorrhée (SA).


  • Au 1er mois (soit 4 semaines), je mesure 3-5 mm, mon cœur bat déjà, on l'entend à l'échographie.


  • Au 2ème mois, A 7 semaines mes membres se forment. On peut déjà distinguer mes doigts, ma bouche, mon nez, mes oreilles, mes yeux et même mes paupières. Je mesure 17-22 mm. A 8 semaines, je suis appelé fœtus. Le cerveau et les autres organes sont individualisés. Je mesure 35 mm.

  • Au 3ème mois, je mesure 6 cm et père 20 gr. Je ne suis certes pas très grand, mais j'ai acquis ma forme définitive. Je bouge mes mains et mes pieds.




  • Au 4ème mois, je mesure 20 cm et je pèse 250 gr. Je suce mon pouce, j'avale le liquide amniotique qui m'entoure. Mes mains sont complètement formées.


  • A 5 mois, je mesure 30 cm et je pèse 650 gr




  • A 6 mois, je bouge beaucoup. Je commence a réagir aux bruits extérieurs. Je mesure 37 cm et pèse 1000g.




  • A 8 mois, je prend la position que je garderai jusqu'à l'accouchement.

Je ne suis pas un amas de cellule! je suis belle et bien un être vivant !! Alors, pourquoi me faire du mal dans le seul endroit où je devrais être en sécurité ..... le ventre de ma maman ....???

AVORTER C'EST TUER



13 commentaires:

Anonyme a dit…

les études du Professeur Le jeune sur la bioéthique sont toujours d'un grand intérêt pour la recherche scientifique et la progression du débat sur l'avortement, merci chaque jour un peu plus de prendre la toile pour protester contre la loi de mort!

Anonyme a dit…

Bravo pour cet exposé.
On le lit sans peine jusqu'au bout, et il dit les faits tels qu'ils sont.

LMO a dit…

Zut...
JE viens d'écrire ce que je croyais être un commentaire, j'ai dû le mettre au mauvais endroit.

Je disais donc que je suis enceinte de 2 mois, ma 2° grossesse.
La première, j'avais 19 ans, et la question de l'avortement s'est posée.
Même si j'ai choisi de garder cet enfant "surprise" car au fond, je le désirais terriblement, il m'est difficile d'adhérer à votre propos de "la vie à tout prix".

Certes, à 12 ou 14 semaines, un embryon n'est plus un amas de cellule mais un être en devenir.
Néanmoins, il reste un embryon, quelque chose d'incapable de vivre indépendament du corps de sa mère.

Si, dans ma situation, j'ai été capable de décider de garder cet enfant, c'est parce que j'avais les ressources psychiques suffisantes, je n'étais plus une gamine, même à 19 ans.
Seulement, des jeunes filles n'ont pas la même maturité, ou tombent enceinte beaucoup plus tôt, et leur imposer de continuer la grossesse au pretexte que l'embryon est vivant, même si non viable, je trouve que c'est condamner plusieurs personnes. La mère, à une vie qu'elle n'aura pas choisi, le bébé, qui naîtra dans un environnement peu amène à lui apporter tout l'amour dont il a besoin. Entre condamner un être vivant, dénuée de pensée et de la faculté de vivre par lui même. et condamner une mère et son bébé, viable celui ci. Je choisi la première solution sans hésiter!

Anonyme a dit…

et que dire si j'apprends que je suis enceinte alors que je suis un traitement totalement contre-indiqué en cas de grossesse, imprévu au moment de la conception?... prendre le risque de faire porter à mon enfant à naître le poids de séquelles de ces substances toute sa vie?... ou faire le choix de mettre un terme à une grossesse qui a toutes les chances d'aboutir à la naissance d'un enfant porteur de malformations?...
l'avortement n'est pas qu'un "substitut" à la contraception... et avant tout ce n'est jamais une décision facile à assumer.

SOS Tout-Petits TOULOUSE a dit…

Il n'a jamais été dit que l'avortement était un substitut à la contraception cependant nous ne pouvons ignorer que c'est le message sous-jacent défendu par le planning familial.
Nous avons conscience de la difficulté physique et psychologique d'un avortement, c'est un des arguments qui plaident en la faveur du non à l'IVG, trop de femmes décèdent des suites d'un avortement: complications, suicides, etc.

Anonyme a dit…

Est-il vrai que nous tuons d'avantage de tout-petits aujourd'hui?

J'en doute fortement.
La mortalité infantile, dans les pays développé, justement là où l'avortement est plus fréquent, est bien moins fréquente que dans les pays pauvres. D'ailleurs, là où l'avortement est interdit, ça ne veut pas dire qu'ils ne sont pas pratiqués et ce, dans des conditions dangereuses.

De plus, il faudrait voir quel est violence faite aux enfants dans les familles où ils n'étaient pas désirés... Une vie de torture est-elle plus acceptable que l'avortement?

Et que faire quand la mère est trop jeune? Quand c'est dangereux, physiquement et psychologiquement pour elle de porter l'enfant à terme? Quand elle a été violée?

Quand l'avortement était interdit, qui s'occupait de l'équilibre psychologique des parents trop jeunes pour être de bons parents? Qui s'occupait des familles trop pauvres pour subvenir aux besoin de leurs tout petits? Et qui s'occupait des enfants des femmes qui mouraient des suites d'un accouchement difficile? Qui s'occupait des enfants pauvres et/ou battus?

Avoir un enfant n'est pas sans conséquences. Et si une société veux qu'on garde tout les enfants conçus, et bien elle devra apporter soutien et amour aux familles ainsi créées. Or, nous sommes très loin de cet esprit d'entraide.

Je suis donc pour la vie, et pro-choix.

SOS Tout-Petits TOULOUSE a dit…

Comparer le problème de la mortalité infantile et celui de l'avortement est une erreur statistique puisque l'IVG n'est pas pris en compte dans ce "calcul".

Vous trouverez toujours de la violence et ce dans toute les familles, dire qu'il y a corrélation (vous le sous entendez) entre la non-possibilité matérielle et psychologique d'avoir un enfant et la violence familiale tendancieux. Après tout, en ayant un rapport sexuel consentis la jeune femme a connaissance des conséquences probables, à moins bien sur que nous oublions la notion de responsabilité...
Enfin, nous pensons qu'il est de la responsabilité des parents de veiller à ce que leur jeune fille évite ce genre de situation, de nombreuses adolescentes n'ont pas d'histoires malheureuses à raconter, comme quoi éduquer ces enfants n'est pas impossible même aujourd'hui.
Je répète que les avortements dus à un viol sont sujets à ouverture, mais que cela n'est pas un argument, vu le peu de cas recensés.

Nous sommes pour soutenir ces femmes qui ont du prendre cette décision douloureuse, cependant nous pensons que ca n'est pas une solution, il faut assumer ces actes!
Que diriez vous d'une personne mis dans l'embarras par un tiers, ou un maitre chanteur, déciderai de le tuer pour régler ces problèmes?

Il faut cesser de voir du bon dans l'être humain à tout bout de champs, et se rappeler que chaque acte incombe une responsabilité à assumer, nous avons le choix de céder à la facilité mais nous en payons le prix.

Anonyme a dit…

Avorter c'est pas tuer, bande de cons

Anonyme a dit…

je suis sûr que t'as pas de considération pour les autres, en plus. c'est juste une valeur conne que t'as prise pour te croire bon/bonne

Anonyme a dit…

pis tu fais quoi quand tu sais que ton enfant sera un boulet si il nait? je suppose que c'est seulement la responsabilité des parents de prendre soin d'eux?... je suppose également que tu t'implique pour aider les parents à torcher leur enfant de 40 ans qui n'a jamais été capable de prendre un bain tout seul?

pis votre association de connards, là ça a été fondé par un homme! LA HONTE! je suis un homme et je trouve ça honteux qu'on puisse croire qu'on comprend mieux les choses qu'une femme en ce qui concerne l'enfantement.

honteux.

restez chez vous et repenser à tout ça. j'espère que vous votez psa.

Anonyme a dit…

merci pour votre site je suis nceinte de 5 mois et je nai jamais etet plus heureuse de toute ma vie !!!

Manu a dit…

Je me réjoui de voir votre site et partage pleinement vos idées et je penses qu'il est clair que nous n'avons pas le droit de vie ou de mort qui plus est sur un petit être incapable de se défendre et l'avortement n'est pas moins un crime parce que on ne voit pas l'enfant c'est simplement plus hypocrite

Anonyme a dit…

Et que faire quand il y a eu prise de pilule et utilisation d'un préservatif, qu'on a 18ans et qu'on ne sait pas comment ça a pu nous arriver ? qu'on ne sait pas quoi faire, qu'on hésite pour notre vie future,nos études et que bien qu'on ait aucune envie de tuer un embryon, l'avortement nous paraisse la seule solution possible? Là est la question.